Hello à tous ! Aujourd’hui, on va parler myopie, un sujet un peu particulier et qui ne concernera certainement pas tout le monde. Mais c’est un sujet qui me tient à cœur et j’avais envie de vous en parler. Vous pourrez d’ailleurs trouver une vidéo à la fin de l’article, que je vous conseille d’aller regarder, parce que l’oral est parfois plus parlant que l’écrit 🙂 Je vais donc vous parler de cette opération qui m’a complètement changé la vie, à savoir l’opération de la myopie, qui m’a permis de ne plus devoir porter de lunettes.
Malgré tout, je tenais à vous écrire ce petit article parce que j’avais le besoin de le partager avec vous. Et parce que je sais aussi que le sujet pourrait en intéresser certain(e)s.
Afin que l’article soit le plus lisible possible, je vais essayer de vous le scinder en plusieurs chapitres, vous pourrez passer de l’un à l’autre s’il y en a un qui ne vous intéresse pas ^^ Il vous suffit de cliquer directement sur le lien du chapitre qui vous intéresse pour y arriver. Pratique non ? 😉
1. L’histoire de ma myopie
2. Le premier contact
3. Seconde consultation et examens
4. Avant l’opération
5. L’opération
6. Les premières heures après l’opération
7. Les jours suivants
8. Et aujourd’hui ?
9. En vidéo
1. L’histoire de ma myopie
♦ Je porte des lunettes depuis l’âge de 6 ans (je parle encore au présent parce que j’ai beaucoup de mal à parler au passé ^^), et j’ai eu une myopie qui s’est pas mal aggravée avec le temps. Je n’ai pas eu le chance de rester stable, ma vue continuait de baisser et n’a commencé à se stabiliser qu’à l’âge de 26-27 ans. Autant dire que c’est assez tard. Au dernier contrôle de myopie, j’étais à -11,50 à l’œil droit, et -9,50 à l’œil gauche, en étant astigmate en plus. Ce qui veut dire que sans mes lunettes et mes lentilles, je ne voyais pratiquement rien.
♦ Heureusement, j’ai eu la chance de pouvoir avoir des verres affinés, et donc pas des culs de bouteille. Mais malgré tout, mes verres avaient une certaine épaisseur. Sans compter le prix, évidemment. Plus on est myope, plus les verres sont épais, plus il faut affiner et plus cela coûte cher. Sans intervention (ou extrêmement minimale) de la mutuelle, parce que c’est considéré comme du luxe… Mes lentilles n’étaient pas remboursées non plus, c’était donc un investissement à chaque fois.
♦ Je ne pouvais pas me passer de mes lunettes, évidemment. Et je ne pouvais pas travailler avec mes lentilles parce que l’écran d’ordinateur et les néons m’agressaient les yeux. J’étais donc contrainte d’aller travailler avec mes lunettes mais je n’aimais pas vraiment. Psychologiquement, ça m’enlevait de la coquetterie. C’est sans doute idiot que de penser comme ça, mais je n’avais jamais les cheveux lâchés et je ne portais jamais de jupes avec mes lunettes… Je le réservais pour quand je portais mes lentilles.
♦ Pour le maquillage, ce n’était pas évident non plus. Allez faire un joli maquillage élaboré quand vous devez avoir le nez collé au miroir pour pouvoir vous maquiller. Impossible de faire un trait de liner correct, d’utiliser de jolies couleurs en beaux dégradés ou smokys, parce que ça passait presque inaperçu avec les lunettes. Je ne me foulais donc pas, un peu de crayon noir, de mascara, et le tour était joué. Mais je me sentais un peu « négligée ». Moi qui aime le make-up et pouvoir prendre le temps de me maquiller, c’est une chose que je ne faisais pas, c’était un plaisir qui était réservé pour mes lentilles, ce qui était donc exceptionnel.
♦ Les vacances, c’était quelque chose aussi. Imaginez un peu si je voulais aller à la plage (ou à la piscine)
– Si je mettais mes lunettes, je ne pouvais pas aller à l’eau, parce que je devais les enlever. Et si je les enlevais, je ne voyais rien. Je ne reconnaissais pas les personnes avec qui j’étais, et il m’était impossible de retrouver l’endroit d’où je venais. Difficile donc d’aller patauger. Et je ne pouvais pas prendre le risque de me baigner avec et de les perdre ou de les abîmer à cause du sel de l’eau.
– Si je mettais mes lentilles, j’avais le risque de sable dans les yeux, ce qui me ferait mal aux yeux et abîmerait mes lentilles. Mais difficile d’aller à l’eau également, parce que le risque de perdre mes lentilles était trop grand si j’avais de l’eau dans les yeux. Et on en revient au même point qu’avec mes lunettes. Si je perdais mes lentilles, je ne voyais plus rien non plus, et donc plus aucun repère.
♦ Tout ça m’a un peu amené à saturer. Je n’en pouvais plus, je devais toujours penser à avoir mes lunettes sous la main quand j’avais mes lentilles, peur de ce que je faisais, d’où j’allais, je faisais attention à tout. J’en avais juste assez. Et j’ai décidé de prendre tous les renseignements possibles pour me faire opérer, parce que cette myopie était devenue un vrai fardeau.
2. Le premier contact
♦ J’étais tellement arrivée à saturation de porter des lunettes que j’ai décidé de prendre rendez-vous chez un chirurgien ophatlmo. Mais j’avoue ne pas y être allée en toute confiance. Non pas un manque de confiance envers le spécialiste, je le connaissais de réputation et je savais qu’il était bon, mais un manque de confiance envers ma myopie. Je suis allée consulter le chirurgien un peu par dépit. Comme j’étais persuadée qu’il me dirait que l’opération n’était pas possible parce que j’étais trop myope, je n’y suis pas allée avec de grands espoirs. Pour moi, c’était un peu comme un rêve inaccessible.
♦ Je suis donc allée à la première consultation mais je n’ai pas rencontré le médecin tout de suite. Je suis passée dans une pièce spéciale avec toutes les machines pour prendre les mesures de mes yeux, et définir à quel stade de myopie j’étais. Puis j’ai fini par rencontrer le chirurgien ophtalmo, qui a d’abord consulté les résultat avant de pouvoir me donner son verdict. A ce stade, il allait de soi que j’étais encore persuadée que j’étais trop myope pour me faire opérer, et que je n’avais donc aucun espoir. Et voilà qu’il m’annonce que oui, l’opération est possible ! Bon, il m’a fallu quelques secondes pour que ça percute et que je réalise que je pourrais enfin me faire opérer !
♦ Maintenant que je savais que je pouvais me faire opérer, le chirurgien m’a expliqué en quoi elle consisterait. J’étais trop myope pour pouvoir faire l’opération au laser, mais il me proposait une autre solution : un implant en silicone (qui ressemble à une lentille), que l’on m’injecterait dans l’œil. Ma lentille ne serait donc plus sur mon œil mais dedans. Pourquoi pas, après tout. Surtout que c’est une opération réversible (au cas où je me dirais un jour que j’ai envie de ne plus rien voir à nouveau !) et que les effets secondaires post-opératoires étaient minimes comparés à l’opération au laser
♦ Une fois toutes les informations données, le chirurgien m’a donné un délai de réflexion. Parce que, malgré tout, c’était une grosse opération et que je ne devais pas prendre ma décision à la légère. Même si dans ma tête, tout était clair, je me ferais opérer ! J’étais d’ailleurs sur un petit nuage juste après être sortie de chez lui, j’avais l’impression que c’était le plus beau jour de ma vie. Je crois que je suis allée à la première consultation le jeudi, et le lundi je lui sonnais pour lui confirmer que je voulais me faire opérer, et décider de la date.
3. Seconde consultation et examens
♦ Comme j’étais décidée à me faire opérer, je devais aller à une autre consultation, pour pouvoir prendre toutes les mesures nécessaires. Comme il s’agit de lentilles que l’on implante, le chirurgien doit prendre toutes les mesures de mon œil pour que la lentilles soit la plus adaptée possible. Je suis donc passée par un tas de machines différentes, pour mesurer une nouvelle fois exactement mon degré de myopie, la taille de mon œil, la tension que j’avais et encore d’autres machines dont je ne me souviens plus quelle était la fonction exacte. Mais soit. Ce n’est pas le plus important ^^
♦ C’est à la fin du rendez-vous que le médecin me confirme la date de l’opération. Nous étions mi-août, et l’opération était prévue pour début octobre. Autant dire que ça allait passer vite ! Et pourtant, ces quelques semaines me semblèrent assez longues, mais je pense que c’est tout à fait normal.
♦ Entre-temps, j’avais des examens préopératoires à faire : prise de sang, radio du thorax (si quelqu’un peut me dire pourquoi d’ailleurs) et visite chez l’anesthésiste. Anesthésiste qui devait donner son feu vert pour l’opération, et il me le donna. Encore une fois, j’étais sur mon petit nuage parce que j’avais l’impression que mon « rêve » était en train de se réaliser. Puis je suis partie presque 3 semaines en vacances, et je suis revenue à peine une semaine avant l’opération. Le temps passa donc assez vite et j’en étais bien contente.
4. Avant l’opération
♦ Comme il s’agissait d’une anesthésie générale, j’ai eu comme consignes de ne plus manger ni boire à partir de 22h la veille, sachant que je me faisais opérer dans les premières le matin. Et là, j’ai eu THE coup de stress. Déjà que je stressais un peu avant mais la veille, j’étais vraiment angoissée et je me posais plein de questions. Je n’avais jamais eu d’anesthésie générale avant, donc ça m’angoissait un peu. Et puis, toujours cette même question : comment allais-je voir après l’opération, sans mes lunettes ? Je savais ce que je voyais et comment je voyais avec mes lunettes/lentilles, mais comment allais-je voir une fois opérée ? Est-ce que ça allait être pareil, est-ce que ça allait être mieux ? Trop de questions dans ma petite tête, mais je n’avais pas envie de reculer. C’tait trop tard de toute façon, et je ne pouvais pas me laisser ravager par cette angoisse alors que les choses ne pouvaient que bien se passer.
♦ J’ai eu quelques petits soins à faire la veille avant d’aller dormir, à savoir me laver corps et cheveux avec de la bétadine en savon, et rebelote le lendemain matin avant de partir pour l’hôpital. Comme j’étais en hôpital de jour, je devais arriver le matin même de l’opération, et je suis donc arrivée à l’hôpital pour 7h. L’infirmière m’a installée dans une chambre et m’a expliqué le déroulement de l’opération, ce qui a contribué à me rassurer un peu. Parce que oui, j’étais toujours stressée. Je me suis changée pour enfiler une jolie robe de chambre d’hôpital, et je me suis installée sur le lit
♦ Une fois installée dans la chambre, je n’ai pas dû attendre longtemps pour être prise en charge. La même infirmière (qui m’avait installée), est rapidement venue me mettre des gouttes dans les yeux afin de dilater au maximum mes pupilles. J’ai dû recevoir une dizaine de gouttes dans chaque œil pour être prête pour l’opération. Et mes pupilles étaient dilatées à un tel point que j’avais l’impression de ressembler à un lémurien. On me met une charlotte sur la tête et hop, je suis prête à partir en salle d’op.
Mes cils sont longs à cause d’extensions, j’étais bien démaquillée pour l’opération
5. L’opération
♦ L’opération en elle-même, je n’en garde aucun souvenir, étant donné que j’étais sous anesthésie générale. Je me souviens être entrée en salle d’op et avoir discuté avec les infirmière, l’anesthésiste et le chirurgien qui allait m’opérer. Déjà, ils m’ont tous mis en confiance, donc une partie de mon stress s’en est allé. Même si une autre partie de moi angoissait toujours. Avec toujours cette même question : je sais comment je vois maintenant, mais comment vais-je voir après ? Et puis aussi cette idée que pour la première fois depuis que je peux m’en souvenir, je verrai sans lunettes en ouvrant les yeux, après l’opération ! Avouez que c’est stressant quand même.
♦ Après m’avoir demandé si j’étais prête et m’avoir encore une fois expliqué le déroulement de l’intervention, l’anesthésiste me met le masque et hop, je m’endors quasi instantanément pour ne me réveiller qu’en salle de réveil, deux heures plus tard.
♦ En quoi consistait donc vraiment l’opération ? Comme je l’ai dit au-dessus, il s’agit d’un implant en silicone que l’on injecte dans l’œil. (Si vous n’aimez pas les détails ou tout ce qui touche aux yeux, passez au prochain paragraphe ^^) Le chirurgien fait donc une incision dans l’œil afin de pouvoir y glisser l’injecteur. Il est assisté d’un technicien spécialisé qui glisse la lentille dans l’injecteur, et le chirurgien se charge de mettre la lentille en place dans l’œil. C’est une opération minutieuse qui prend un peu de temps. Pour les deux yeux, l’opération a duré une heure. Le chirurgien fixe ensuite les lentilles avec des petits fils pour les maintenir en place le temps de la cicatrisation. L’opération terminée, il place des coques sur les yeux pour éviter tout parasite, puis on file en salle de réveil
6. Les premières heures après l’opération
♦ J’ai donc ouvert la première fois les yeux en salle de réveil, sans savoir quelle heure il était. Du moins pas tout de suite. Il m’a fallu le temps d’émerger parce que l’anesthésie avait été assez forte. Une fois réveillée, je suis rentrée dans la chambre, et le chirurgien est arrivé peu de temps après. Je n’ai que des souvenirs brouillés de ce moment parce que j’étais encore dans les brumes de l’anesthésie. Je me souviens par contre de la visite du chirurgien, qui m’a demandé si j’arrivais à lire l’heure sur l’horloge murale. Et étonnamment, j’ai réussi à donner l’heure exacte, à la seconde près, parce que je voyais les aiguilles, et surtout la trotteuse. Ce qui a surpris le médecin, car mes pupilles étaient encore extra-dilatées et que je voyais encore flou. Mais c’était bon signe, et surtout signe que je pourrais sortir rapidement. Mais c’était sans compter le contre-coup de l’anesthésie
♦ Comme il s’agissait de ma première anesthésie générale, je ne savais pas ce que je devais faire ou pas. Et dès que j’ai commencé à mieux voir (c’est à dire moins flou), je me suis relevée tout d’un coup, tranquillou, comme si de rien n’était. Mauvaise idée. Une demi-heure plus tard, j’ai commencé à me sentir nauséeuse. Bizarre. Et plus le temps passait, moins j’étais bien. Je ne suis d’ailleurs sortie de l’hôpital que deux heures après l’heure prévue, tellement j’étais mal. Le trajet en voiture (qui dure 45 minutes) m’a semblé une éternité, et on a dû s’arrêter deux fois pour que je puisse prendre l’air tellement j’étais mal. L’impression que j’allais vomir constamment, mais heureusement rien ne s’est passé. Et une fois rentrée à la maison, je me suis mise directement au lit, tellement j’étais fatiguée.
7. Les jours suivants
♦ Le lendemain matin, en ouvrant les yeux, j’ai eu l’agréable surprise de me rendre compte que je voyais, et parfaitement. Bon, mon premier réflexe a quand même été de chercher mes lunettes sur ma table de nuit, alors que je n’en avais plus besoin. C’est un réflexe que j’ai d’ailleurs parfois encore aujourd’hui. Mais je peux vous dire que ça fait très bizarre et qu’il faut du temps pour s’y adapter. Mais j’y reviendrai plus tard ^^
♦ Pendant une semaine, j’ai dû dormir avec mes lunettes de soleil pour ne pas me frotter les yeux et casser les fils qui tenaient les lentilles en place. Au début, on pense que c’est insurmontable mais on s’y fait assez vite. Et 7 jours, ça passe franchement très vite, donc ça ne m’a pas ennuyé outre mesure.
♦ Le lendemain de l’opération, j’avais les yeux sensibles à la luminosité (mes pupilles n’étant pas encore totalement revenues à la normale même si je voyais bien), et j’ai dû porter mes lunettes de soleil toute la journée. J’ai aussi eu rendez-vous chez le chirurgien, pour voir comment ça se passait et comment je me sentais. Il m’a alors fait passer un premier test de vue qui s’est avéré plus que positif. Au lendemain de l’opération, c’était déjà très bien. J’ai alors eu mon traitement complet, à savoir des gouttes à mettre dans les yeux. Un colyre et un antibiotique à base de cortisone pour aider à la cicatrisation. Et il m’a donné rendez-vous deux semaines plus tard. J’ai eu l’autorisation de me maquiller après une semaine, j’ai également repris le boulot après une semaine.
♦ Au niveau du traitement, j’ai dû mettre les gouttes trois fois par jour dans chaque oeil pendant deux semaines. Puis deux pendant une semaine, puis une fois par jour pendant une semaine, et c’était terminé. Donc en tout, un mois à devoir me mettre des gouttes dans les yeux, sans prendre d’autres médicaments, c’est loin d’être contraignant !
♦ J’ai encore eu un rendez-vous chez le chirurgien 6 semaines après l’opération (à peu près), pour me faire passer un nouveau test de vue et voir si tout continuait à bien aller. Et tout allait bien ! J’ai donc un prochain rendez-vous à prendre un an après l’opération, c’est-à-dire vers le mois d’octobre. Et continuer les visites classiques une fois par an, comme toute personne devrait normalement faire ^^
♦ Le seul désagrément que j’avais, si l’on peut l’appeler désagrément, c’est juste un petit voile qui venait se poser de temps à autres sur mon œil droit, et qui partait après quelques clignements. Je n’a rien eu d’autre comme désagrément, pas les yeux qui grattent, qui piquent ou qui brûlent, pas de photosensibilité (sauf le premier jour mais c’est normal). Je vois juste des petits halos lumineux quand je regarde une lampe le soir, mais c’est une chose à laquelle je me suis assez rapidement habituée.
8. Aujourd’hui, où j’en suis ?
♦ Cela fait maintenant presque 4 mois que j’ai été opérée, et j’en suis très heureuse. A l’heure actuelle, je ne regrette absolument pas l’opération. Je suis partie en vacances au soleil et aucun désagrément. Je n’ai aucune fatigue des yeux, je peux me maquiller comme je veux. Mais parfois, j’oublie que j’ai été opérée et certains réflexes refont surface, comme remonter mes lunettes sur le bout de mon nez ou vouloir les enlever/les mettre quand je m’endors ou me réveille. Mais je pense que c’est un conditionnement, parce que j’ai quand même porté des lunettes pendant 24 ans et que j’ai l’impression de n’avoir jamais rien connu d’autre. C’est comme si je découvrais le monde d’une autre manière et c’est agréable.
♦ Je n’ai plus besoin de penser à prendre mes lunettes dans mon sac, à combien de paires de lentilles je dois prendre si je pars en vacances ou en séjour, à la date de péremption du produit, … Aujourd’hui, j’ai juste à penser à embarquer mon maquillage et c’est tout. Et franchement, c’est un soulagement !
♦ Je me sens beaucoup mieux dans ma peau depuis que j’ai été opérée. Je me trouve plus jolie, plus coquette aussi. Je prends un véritable plaisir à me maquiller le matin pour aller au boulot (même si je ne fais pas tous les jours des maquillages hyper élaborés). Je prends plus de plaisir à m’habiller aussi, allez savoir pourquoi ! Dans tous les cas, cette opération n’a que du positif pour moi et je ne regrette absolument pas de l’avoir faite
9. En vidéo
♦ Comme je vous l’ai dit au début de l’article, j’avais fait une vidéo sur le sujet, et je vous propose donc de la visionner. Je sais que l’article est assez long et peut-être pénible à lire, donc je vous propose de jeter un œil à la vidéo. En plus de mon expérience, j’ai ajouté à la fin un petit vlog, dans lequel je vous fais part de mes impressions au jour le jour. De la veille de l’opération au lendemain, en passant par quelques semaines plus tard. Si l’article vous semble vraiment trop long, n’hésitez pas à aller visionner la vidéo 🙂
J’espère que cet article vous aura plu et qu’il vous aura peut-être donné des éléments de réponse, pour certains 🙂 Désolée encore une fois de la longueur, mais j’avais énormément de choses à dire et je ne voulais pas passer à côté de quelque chose d’important. Je suis à votre disposition si vous avez des questions, bien entendu ^^
J’espère que cet article vous aura plu, n’hésitez pas à le commenter, partager, liker, ça me fait toujours plaisir 🙂 En attendant le prochain article, on se retrouve sur les réseaux !
castelein dit
salut!! sympas l’article et j’avoue que tu me fait rêver!! se lever et voir?! quel bonheur, quelle utopie mdr. Si pas indiscret, combien coûte cette opération?
Elovely dit
Hello 🙂 C’était un rêve pour moi il y a encore quelques mois mais c’est bien la réalité maintenant ^^
L’opération est un peu plus chère que l’opération au laser, il faut compter un peu plus de 2000€. C’est un investissement, mais vite rentabilité quand on est très myope, finalement 🙂
Gaëlle - Le Doubs Hibou dit
J’imagine que cette opération a du être un sacré soulagement pour toi ! En tout cas j’espère que tu restera comme ça sans lunette encore longtemps !
J’en porte aussi depuis que je suis petite également pour une myopie, ma vue s’était stabilisée puis après une longue période à ne porter que des lentilles elle a bien baissée. Donc je suis repassée au lunette, j’espère qu’elle se stabilisera et réaugmentera de nouveau 🙂
Elovely dit
Hello 🙂
En effet, c’est un soulagement énorme, une nouvelle vie je dirais même ! Je vois les choses d’une autre façon maintenant (et c’est le cas de le dire mdr)
J’espère pour toi que ta vue continuera à progresser pour que tu ne puisses plus porter de lunettes un jour 🙂 C’est une chance ^^ J’ai porté des lentilles (en plus de mes lunettes) pendant presque 17 ans, mais ça n’a rien changé pour moi, j’ai même fini par ne plus les supporter =/
Que tout continue à bien se passer pour toi 🙂
Des bisous <3
Gaëlle - Le Doubs Hibou dit
J’imagine que cette opération a du être un sacré soulagement pour toi ! En tout cas j’espère que tu restera comme ça sans lunette encore longtemps !
J’en porte aussi depuis que je suis petite également pour une myopie, ma vue s’était stabilisée puis après une longue période à ne porter que des lentilles elle a bien baissée. Donc je suis repassée au lunette, j’espère qu’elle se stabilisera et réaugmentera de nouveau 🙂
Elovely dit
Hello 🙂
En effet, c’est un soulagement énorme, une nouvelle vie je dirais même ! Je vois les choses d’une autre façon maintenant (et c’est le cas de le dire mdr)
J’espère pour toi que ta vue continuera à progresser pour que tu ne puisses plus porter de lunettes un jour 🙂 C’est une chance ^^ J’ai porté des lentilles (en plus de mes lunettes) pendant presque 17 ans, mais ça n’a rien changé pour moi, j’ai même fini par ne plus les supporter =/
Que tout continue à bien se passer pour toi 🙂
Des bisous <3
Elovely dit
Hello 🙂 C’était un rêve pour moi il y a encore quelques mois mais c’est bien la réalité maintenant ^^
L’opération est un peu plus chère que l’opération au laser, il faut compter un peu plus de 2000€. C’est un investissement, mais vite rentabilité quand on est très myope, finalement 🙂
Beauté et Légèreté dit
Tu m’as appris plein de choses!
Merci!
Quel bonheur que cette opération.
Mon rêve? Me lever et regarder par la fenêtre si le ciel est bleu ou gris tôt le matin.
Je suis contente pour toi!
Bises
Tiphaine
Elovely dit
Hello 🙂
Je suis contente d’avoir pu t’apprendre quelque chose via mon article 🙂
Et en effet, je me sens tellement plus épanouie depuis cette opération, je n’ai aucun regret !
Des bisous <3
Beauté et Légèreté dit
Tu m’as appris plein de choses!
Merci!
Quel bonheur que cette opération.
Mon rêve? Me lever et regarder par la fenêtre si le ciel est bleu ou gris tôt le matin.
Je suis contente pour toi!
Bises
Tiphaine
Elovely dit
Hello 🙂
Je suis contente d’avoir pu t’apprendre quelque chose via mon article 🙂
Et en effet, je me sens tellement plus épanouie depuis cette opération, je n’ai aucun regret !
Des bisous <3
Beauté et Légèreté dit
En plus tu as l’air d’être bien plus épanouie maintenant !
Que du positif!
Beauté et Légèreté dit
En plus tu as l’air d’être bien plus épanouie maintenant !
Que du positif!
Happy Swallow dit
Hello !
Ton article me fait rêver. Les lentilles, l’opération, quel bonheur ! Un bonheur auquel je n’ai pas le droit car j’ai une maladie auto-immune des yeux qui ne me permet pas de porter des lentilles. Quant à l’opération, inutile d’en parler.
Je comprends totalement lorsque tu dis que les lunettes t’enlevaient un peu de coquetterie. Je le ressens comme ça aussi. Mais bon, il y a des choses plus graves dans la vie 🙂 L’essentiel est de voir quand même
BlondieViolet dit
Coucou 🙂 Peut-être qu’un jour, les techniques parviendront à faire en sorte que tu puisses en porter, ne sait-on jamais ^^
Ah c’est sûr qu’il y a des choses plus graves, mais c’est surtout que je ne prenais aucun plaisir à me maquiller, étant donné que j’avais le nez constamment collé sur le miroir pour me maquiller, et que je ne pouvais donc pas faire quelque chose de plus sophistiqué, quelque chose qui se voie vraiment ^^ Mais les lunettes ont toujours fait partie de ma vie jusqu’il y a peu, donc c’était une habitude de les avoir, elles faisaient partie de moi ^^
Happy Swallow dit
Hello !
Ton article me fait rêver. Les lentilles, l’opération, quel bonheur ! Un bonheur auquel je n’ai pas le droit car j’ai une maladie auto-immune des yeux qui ne me permet pas de porter des lentilles. Quant à l’opération, inutile d’en parler.
Je comprends totalement lorsque tu dis que les lunettes t’enlevaient un peu de coquetterie. Je le ressens comme ça aussi. Mais bon, il y a des choses plus graves dans la vie 🙂 L’essentiel est de voir quand même
BlondieViolet dit
Coucou 🙂 Peut-être qu’un jour, les techniques parviendront à faire en sorte que tu puisses en porter, ne sait-on jamais ^^
Ah c’est sûr qu’il y a des choses plus graves, mais c’est surtout que je ne prenais aucun plaisir à me maquiller, étant donné que j’avais le nez constamment collé sur le miroir pour me maquiller, et que je ne pouvais donc pas faire quelque chose de plus sophistiqué, quelque chose qui se voie vraiment ^^ Mais les lunettes ont toujours fait partie de ma vie jusqu’il y a peu, donc c’était une habitude de les avoir, elles faisaient partie de moi ^^